Browsing Category

Very Cool Parents

Very Cool Parents

Méditation pour les enfants : des vidéos gratuites pour survivre au confinement (et pas que)

23 avril 2020

Depuis maintenant plus d’un mois, et pour encore quelques semaines, la France vit au rythme du confinement. Les écoles sont fermés, le travail se fait, quand cela est possible, à distance et les familles doivent cohabiter dans des espaces parfois trop étroits.

Evidemment, occuper les kids n’est pas toujours simple. Peu importe leurs âges. Alors pour souffler un bon coup en famille après avoir fait l’école à la maison, enchainer les bains/douches et ranger la chambre de mini pour la 12e fois de la journée, pourquoi ne pas opter pour une petite session de méditation spécialement pensée pour les petits ?

Des vidéos gratuites de méditations pour les petits

Durant cette période un peu spéciale (ou carrément sortie d’un film de SF avouons-le) de nombreuses ressources ont été mises en ligne pour soutenir les parents, et occuper les enfants.

Parmi elles, des séances de méditation accessibles dès le plus jeune âge (3 ans). Ci-dessous, je vous propose donc de découvrir la formidable chaîne Youtube des éditions Les Arènes qui met à la disposition de tous des méditations guidées pour toute la famille !

Allez, on souffle et surtout on profite du calme.

Very Cool Parents

Mon enfant se met à rire quand je le gronde ou quand je dis non, que faire ?

4 juillet 2018

La plupart des parents passent par cette phase un peu compliquée où l’enfant va réagir à un interdit de façon surprenante : en se mettant à rire. Une réaction qui va immédiatement énerver encore plus le parent qui pense que son enfant se moque totalement de lui et se fiche de ce qu’il vient de dire.

Ce n’est pourtant pas forcément le cas. Voire jamais le cas.

Une réaction d’enfant

La première fois que ma fille s’est mise à rire alors que je venais de lui demander de s’éloigner d’une source de danger, j’avoue avoir été interloquée. Je ne m’y attendais pas et je n’ai pas compris.

Mais loin de se moquer de moi ou de mes propos, ma fille exprimait en fait une émotion. La sienne.

D’après plusieurs spécialistes de la petite enfance, un enfant qui se met à rire alors qu’il vient de se faire gronder ou d’entendre un « non » est en réalité un enfant :

  • Qui craint la réaction du parent
  • Qui est gêné

Dans tous les cas de figure, l’enfant est totalement conscient qu’il a fait une bêtise et ne souhaite en aucun cas provoquer qui que ce soit.

Comment réagir ?

Evidemment, le mieux est de ne pas se mettre à rire à son tour pour ne pas décrédibiliser totalement ce que l’on vient de demander. Le mieux est donc d’entrer dans le dialogue avec son enfant. De lui expliquer que l’on sait qu’il a bien compris ce qu’on vient de lui demander, de souligner qu’on a confiance en lui et de rester ferme sur sa position, mais toujours dans la bienveillance.

Very Cool Parents

10 jolis prénoms à donner à des bébés du Printemps

11 avril 2018

Lorsque j’étais enceinte – et même parfois avant – j’ai adoré chercher partout de jolis prénoms et imaginant celui qui irait le mieux à mon futur bébé. Il faut dire que le choix d’un prénom ne doit pas être pris à la légère et qu’il existe tellement de possibilités qu’on est parfois un peu perdu…

Pour vous aider un peu dans cette jungle des prénoms, je vous propose de découvrir dix prénoms particulièrement printaniers qui pourraient vous plaire ! Et si vous ne trouvez pas votre bonheur dans cette petite liste, n’hésitez pas à partager vos idées et/ou les prénoms de vos enfants dans les commentaires !

5 prénoms de garçons qui rappellent le printemps

Olivier

Mayeul

Jonas

Florian

Adam

5 prénoms de filles qui rappellent le printemps

Eglantine

Maia

Garance

Rose

Enara

Very Cool Parents

Père Noël : y faire croire aux enfants ou pas ?

10 novembre 2017

Cette année, ma fille aura deux ans et demi lors des fêtes de fin d’année. Un moment que j’adore depuis toujours. J’aime la féerie de Noël, me réunir avec ma famille, bien manger, rester près du feu de cheminée, chercher des cadeaux… Bref, j’adore Noël et tout ce qui entoure cette fête : des lumières de la ville en passant par l’ambiance, le froid…

Mais cette année, c’est un peu différent pour moi car ma fille va pour la première fois comprendre à peu près ce qu’est Noël. Du coup, je me suis posée la question de savoir quoi faire avec ce Père Noël au cœur de beaucoup de discussions chez les parents. Personnellement, j’ai cru au Père Noël avec bonheur, je ne me suis pas sentie trahie quand j’ai découvert la vérité et j’ai aimé jouer le jeu avec mes petits cousins. Pour autant, est-ce indispensable d’y croire ? Qu’est-ce que ça change finalement ? En quoi ne pas y croire retire de la magie à Noël ?

Ma fille et le Père Noël

Après pas mal de réflexions et discussions avec le papa, nous avons décidé de ne pas entrer dans le jeu du Père Noël. Notre fille croira ce qu’elle veut, mais nous ne l’encouragerons pas plus que cela. Le Père Noël sera un mythe, au même titre que Vaiana ou les héros de ses livres. Si elle nous pose la question, nous lui demanderons ce qu’elle en pense et nous la laisseront faire. Rien de plus, rien de moins.

Finalement, nous avons décidé que Noël ne se limitait en rien à ce gros bonhomme rouge contre lequel je n’ai strictement rien. Notre fille participera à la fête en réalisant des petits cadeaux, en préparant des petites attentions… Et si elle souhaite y croire, elle le fera. Mais jamais il n’y aura de chantage au Père Noël ou autres réjouissances du genre.

Ce sera son choix et nous l’accompagnerons.

Very Cool Parents

La petite phrase magique pour convaincre votre enfant de partir du parc (sans crise)

29 août 2017

Voilà une astuce que je teste régulièrement avec succès. Elle est valable pour le parc, mais aussi pour tout autre endroit que votre enfant n’a pas envie de quitter. L’idée étant évidemment d’éviter les crises et les pleurs liés à la frustration que va forcément ressentir l’enfant.

Grâce à cette petite phrase magique, je parviens à éviter la plupart des « crises » de ma fille qui profite ainsi jusqu’au dernier moment de sa sortie.

Quelle est donc cette phrase magique ?

Comme souvent avec l’éducation dite bienveillante, il s’agit d’ouvrir le dialogue avec son enfant pour lui donner des choix et le rendre acteur des événements. Subir n’est jamais facile, ni pour un enfant, ni pour un adulte. Cette phrase consiste donc à demander à l’enfant quelle activité il veut faire en dernier avant de partir.

Avant de partir, qu’est ce que tu veux faire en dernier ?

L’enfant fait alors son choix, a une limite temporelle et connait par avance la suite des événements. En principe, il devrait donc accepter beaucoup plus facilement le fait de devoir ensuite rentrer.

Very Cool Parents

Bouée ou brassards ? Que choisir pour son bébé de moins de 3 ans ?

1 août 2017

Mois d’août oblige, la question des bouées et brassards se pose pour beaucoup de parents de bébé. Pour ma part, j’ai beaucoup hésité cette année puisque ma fille venait de fêter ses deux ans. Que choisir ? La bouée un peu plus « bébé » ou les brassards de grands ? J’ai finalement opté pour les deux solutions afin de pouvoir faire comme le sentait ma fille, en fonction de la façon dont elle se sent dans l’eau.

La bouée, le choix parfait entre 0 et 2 ans

Si votre enfant a moins de deux ans (et jusqu’à 15 kilos), il est plus que conseillé de se tourner vers une bouée siège. L’enfant est assis dedans en sécurité et peut quand même bouger ses pieds. Par contre, les bras sont un peu moins libres. Ces bouées sont toujours à utiliser sous haute surveillance, car les enfants peuvent facilement se retourner, et se trouver la tête coincée sous l’eau. Ca m’est arrivée à plusieurs reprises avec ma fille, donc autant le savoir.

Voilà le modèle que nous avons choisi, acheté chez Décathlon et franchement sympa. D’autres coloris sont disponibles.

Les brassards pour les enfants à partir de 2 ans

Dès deux ans, on peut commencer à utiliser des brassards. Comme nous avons été dans une piscine où la miss n’avait jamais pied, j’ai préféré ne pas les utiliser cette fois. L’avantage des brassards, c’est évidemment que l’enfant peut sortir et rentrer dans l’eau, il aura toujours sa protection avec lui.

Les autres choix (gilet, maillots de bain avec flotteurs…)

Et si aucune de ces solutions ne vous parle, vous pouvez opter pour un maillot de bain avec des flotteurs intégrés ou encore pour des gilets de natation. Autant de choix qui sont adaptés à partir de deux ans (voire trois ans ici).

Quant à savoir quel serait le meilleur choix, tout dépend de votre enfant. S’il est à l’aise ou non dans l’eau, ce qu’il préfère à l’usage. L’endroit où l’enfant se baigne est aussi à prendre en compte. Les bouées sont moyennement adaptées à la mer par exemple à cause du courant. Rappelons aussi que vous devez toujours surveiller vos enfants de près. De la même façon, nager librement dans les bras de papa et maman est aussi un véritable plaisir à ne pas négliger pour apprendre à apprivoiser l’eau.

Very Cool Parents

Crise de colère : comment réagir avec bienveillance face à un enfant « pas content » ?

5 juillet 2017

Faire face à un enfant en pleine « tempête émotionnelle » n’est pas facile. Surtout quand l’enfant en question a toujours été plutôt calme par le passé. C’est ce qui m’est arrivé avec ma fille qui vient de souffler ses deux bougies. Très stressée depuis quelques semaines par son entrée à la crèche, elle a besoin d’extérioriser sa colère / son stress une fois de retour à la maison. Et là, c’est une vraie explosion : les jouets sont jetés par terre, elle se roule par terre, crie, parfois pleure. Et surtout elle semble refuser toutes formes d’approches.

Décontenancée par ce comportement que je ne lui connaissais pas, j’avoue avoir été perdue sur la marche à suivre. Faut-il punir ma fille ? L’isoler ? Crier pour attirer son attention ? La laisser se décharger totalement ?

Evidemment, chaque enfant fonctionne à sa façon et il n’existe pas de recette magique. J’ai tout de même noté quelques pistes qui permettent d’améliorer doucement la situation.

Eviter l’isolement et les punitions

La première chose qui ne fonctionne absolument pas, c’est évidemment de punir son enfant.  Déjà car il ne comprendra probablement pas la raison de la punition et surtout car le message envoyé n’est pas le bon. L’enfant essaye – à sa façon, maladroite – de faire passer son émotion et de nous faire comprendre quelque chose. Dans le cas de ma fille, clairement elle veut me faire comprendre qu’elle n’aime pas la crèche et ne souhaite plus que je l’y laisse. La punir ne servirait donc strictement à rien et surtout n’apporterait aucune réponse à personne.

Quant à l’isolement, c’est une mauvaise solution aussi. Un enfant n’a pas à se sentir mis de côté ou ignoré dans une autre pièce. Même si cela semble le calmer (et encore), l’enfant sera dans une détresse psychologique encore plus importante. Qui plus est, il n’est pas réellement en mesure de réfléchir à ses actes.

Quelles solutions pour calmer la colère d’un enfant ?

  • La première chose que l’on peut tester, c’est d’essayer de calmer l’enfant en le prenant dans ses bras et en chuchotant qu’on a vu qu’il était en colère et que cela arrive. Le contact physique associé à des paroles qui prouvent à l’enfant qu’il est écouté peuvent améliorer la situation nettement. Par la suite, il est possible de demander à l’enfant pourquoi il est en colère. Malheureusement, les enfants en pleine crise n’ont pas toujours envie d’être approchés.
  • Si l’approche physique ne fonctionne pas, pourquoi ne pas opter pour un objet qui servira de transition ? Une bouteille de retour au calme par exemple, ou un coussin dans lequel on peut se défouler un peu. Bref, un objet dédié à la colère qui n’a pour but que de la soulager et de faire revenir le calme.
  • Si rien ne fonctionne, faire simplement acte d’une présence bienveillante en attendant la fin de la colère est une bonne solution. Il faut évidemment absolument éviter de se mettre en colère à son tour (facile à dire…)

Voilà quelques pistes qui fonctionnent pas mal. L’idée est de trouver ce qui convient le mieux à votre enfant. Une fois la colère passée, il est alors temps de mettre quelques mots dessus, toujours en expliquant que tout est normal et que l’on comprend la colère de l’enfant. Pour finir, il est utile de profiter d’une période de calme pour lire un livre sur les émotions avec l’enfant et lui donner des mots pour comprendre la tempête émotionnelle qui s’est emparée de lui. Sans oublier de partager des câlins et des gros bisous évidemment !

Very Cool Parents

10 jolis prénoms à donner à des bébés d’été

4 juillet 2017

Trouver le prénom de son enfant est souvent un moment particulier. A la fois riche en excitation, questionnements et doutes. Et puis, il faut se mettre d’accord avec le papa, et que le prénom plaise à peu près à tous les proches. Ou comment un beau moment peut aussi se transformer en casse-tête.

Je me souviens que lorsque j’ai découvert que j’attendais une petite fille, j’ai tout de suite commencé à réfléchir à des prénoms, à regarder des bouquins sur ce thème, à checker des sites Internet. Tout ça pour trouver LE prénom. Celui qui nous plairait à tous les deux. Celui qui l’accompagnerait toute sa vie. Celui dont elle serait fière et qui lui ressemblerait.

Si vous êtes à la recherche d’un joli prénom pour un bébé qui doit naître durant les beaux jours (ou pas d’ailleurs !), je vous ai concocté une petite liste de beaux prénoms ensoleillés.

5 prénoms de garçons qui rappellent l’été

Marin

Jules

Eole

Colin

Noé

5 prénoms de filles qui rappellent l’été

Lila

Mia

Ondine

Arielle

Linaë

Si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas à me les donner dans les commentaires car il en existe encore beaucoup !

Very Cool Parents

HELP ! Mon bébé me tape avec ses pieds quand je change sa couche

3 mai 2017

Je pense pouvoir dire sans me tromper que beaucoup de parents (voire tous) se sont pris des coups de pieds lors du changement de couche sur la table à langer. Depuis que ma fille a 12-15 mois, c’est quelque chose qu’elle fait assez régulièrement, et c’est évidemment de moins en moins agréable à mesure que le bébé prend de la force. Heureusement, il existe quelques astuces pour simplifier ce moment obligatoire jusqu’à l’apprentissage de la propreté.

Occuper l’esprit de bébé (et ses mains)

La 1ère chose que l’on peut faire pour éviter de se prendre des coups de pieds très douloureux dans le ventre ou la poitrine, c’est d’occuper les mains de bébé avec un petit jouet (livre, peluche…), ou même carrément avec un coton (nous on lui propose d’essuyer sa peluche comme on le fait avec elle), voire avec sa couche que le bébé peut tenir en attendant qu’on nettoie ses fesses. L’enfant se sent mis en valeur et souvent ne pense plus du tout à donner des coups de pieds. Pour les enfants plus petits, on peut aussi accrocher un petit mobile au-dessus de sa tête pour l’occuper le temps que ça se passe. Enfin, on peut aussi proposer à l’enfant de chanter une petite chanson. Bref, tout ce qui peut l’occuper !

 

Expliquer la situation

Même si occuper bébé fonctionne souvent bien, il arrive parfois que ça ne suffise pas. Et même si ça suffit, il est toujours préférable d’expliquer pourquoi donner des coups de pieds n’est pas l’idée du siècle. On explique donc à bébé que les pieds servent à marcher (et non à taper), et que lorsque papa / maman reçoit des coups de pieds ça lui fait mal. Tout simplement. Je propose aussi régulièrement une alternative (ah les alternatives, c’est la vie) en disant à bébé de plutôt chatouiller ou faire bravo avec ses pieds que de donner des coups.

 

Changer bébé debout

Lorsque l’enfant marche, vous avez la possibilité de le changer debout, ce qui réglera pour de bon l’histoire des coups de pieds. De son côté, l’enfant sera fier d’être changé comme un grand. On peut en profiter pour lui proposer d’être actif durant le change en utilisant du coton ou remontant sa couche.

 

Et vous, vous avez des solutions miracles pour slalomer entre les coups de pieds ou carrément les bannir de votre table à langer ?

Very Cool Parents

5 astuces (vraiment faciles) pour débuter dans l’éducation positive

3 mai 2017

 

Parentalité positive. Bienveillance. Il n’est pas toujours simple de savoir par où commencer lorsque l’on veut se lancer dans ces méthodes d’éducation. C’était mon cas à la naissance de ma fille. Bien sûr, tout le monde pratique plus ou moins ce type de parentalité, mais quelques astuces ne font jamais de mal et celles-ci m’ont été très utiles au fil du temps pour m’y retrouver et surtout me lancer sans faire marche arrière.

Autant vous l’avouer tout de suite, il faut souvent un peu de temps pour perdre certaines « mauvaises habitudes » et pour instaurer une nouvelle dynamique avec son enfant, mais aussi le reste de la famille. Car c’est bien joli de se lancer dans une éducation plus bienveillante, mais encore faut-il que le papa / la maman suive la marche aussi.

Mes 5 astuces pour une parentalité (plus) bienveillante au quotidien

 

  • Parler de façon positive (oui, oui même pour dire que quelque chose ne doit pas être fait. Au lieu de dire à votre enfant « Ne grimpe pas sur le canapé », optez pour « Le canapé, c’est fait pour être assis ». Ou au lieu de dire « Ne jette pas tes jouets par terre », optez pour « Les jouets restent par terre »…

 

  • Tout expliquer encore et encore. Lorsque l’on devient parent, le « non » est un mot que l’on répète plusieurs fois par jour (presque sans se lasser). Pourtant, il ne suffit pas. Il faut expliquer la raison de notre refus à l’enfant afin qu’il comprenne le pourquoi. Car bien souvent, tout ce que fait l’enfant de moins de 3 ans a pour but de tester l’effet produit. Votre enfant tape sur la télévision avec sa voiture en bois ? Au lieu de crier un « Non » bien ferme, on préfère une réelle explication : « Jules, ta petite voiture est faite pour rouler par terre. Là tu abîmes la télévision. Je comprends que ce soit amusant, mais essaye plutôt de faire rouler ta voiture sur la table / ton circuit… ». On explique, puis on détourne doucement l’attention vers autre chose.

 

  • Encourager l’enfant. Dès que votre enfant fait quelque chose de bien, il faut marquer le coup et l’encourager en ne se contentant pas d’un « C’est bien » ou « Merci », mais en précisant ce que l’on a apprécié. Par exemple : « Merci d’avoir rangé tes jouets avant de manger » ou « Je suis contente que tu partages ta poupée avec Julie ».

 

  • Des câlins et des bisous à gogo. On ne le dira jamais assez, les câlins et les contacts physiques sont très importants pour les enfants. Ils permettent de booster les hormones du bien-être, mais aussi d’aider l’enfant à grandir et à s’épanouir. Ces câlins sont tout particulièrement important en cas de « crise émotionnelle » de l’enfant que ce soit parce qu’il est en colère, ou parce qu’il a mal…

 

  • Montrer l’exemple. Ca tombe un peu sous le sens, mais les enfants sont comme des éponges qui vont imiter nos comportements (ma fille sait changer les CD de la chaîne alors qu’elle n’a pas deux ans, juste en nous voyant faire) et nos habitudes. Se montrer bienveillant, à l’écoute et disponible permettra donc à l’enfant de ne pas se replier sur lui et d’apprendre à son tour à se comporter avec bienveillance.